Ce circuit prévu de 12 km nous a permis de découvrir ou redécouvrir Le BREIL à Sautron.
Merci aux courageux marcheurs et marcheuses de cette journée pour le supplément de marche (+ 2 km).
Merci aux courageux marcheurs et marcheuses de cette journée pour le supplément de marche (+ 2 km).
cette randonnée est reportée à une date ultérieure
Pour voir le circuit de plus près, cliquer sur le lien ci-dessous :
Randonnée annulée pour cause de mauvais temps,
et reportée à une date ultérieure.
Ce circuit de 12 km nous permettra de découvrir St Hilaire de Chaléons.
La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune a aussi fait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique.
Saint-Hilaire-de-Chaléons est située entre le lac de Grand-Lieu et la baie de Bourgneuf, à 25 km au sud-ouest de Nantes et 3 km à l’ouest de Sainte-Pazanne.
Saint-Hilaire-de-Chaléons est mentionné pour la première fois en 1079, époque où son église est donnée aux religieuses de Notre-Dame d’Angers3. L’église de Saint-Hilaire de Chaléons appartenait alors au prieuré Sainte Marie de Prigny4.
Durant le Moyen Âge, la paroisse de Saint-Hilaire se développe à proximité du château du Bois-Rouaud.
La période de la Révolution française est une période très difficile pour la commune qui a laissé des traces durables dans les mentalités5. Saint-Hilaire est alors un lieu de cantonnement pour l’armée républicaine3 qui combat les Armées catholiques et royales de Vendée et de Bretagne. En raison de la déchristianisation, la commune est renommée La Fraternité. Il y eut à La Fraternité, entre l’an I et l’an IV, 316 tués et 167 décès par maladie pour une population de 1 150 habitants d’après le recensement de 17896. Les familles les plus éprouvées furent la famille Briand, de la Petite Davière, où il y eut onze décès ; la famille Loquai, de Maubusson, où il y eut six tués et quatre décès par maladie ; et la famille de Louis Guérin, où il y eut trois tués et cinq autres décès6.
Le cimetière actuel est inauguré en 1869 par le maire, le comte Gustave de Juigné7.
L’église actuelle remplace une ancienne église ruinée à la Révolution française. Lors de la construction de l’église en 1897, trois sarcophages mérovingiens sont découverts8.
La commune a rénové le clocher en 2000, une équipe de jeunes cinéastes a profité de l’occasion pour refaire l’histoire de ce clocher avec les anciens qui l’avaient vu construire 9.
Premier de province et deuxième de France après Rungis, le Marché d’intérêt national (Min) quittera l’île de Nantes pour rejoindre le parc d’activités Océane en 2018.
Situé en bordure du périphérique, la Zac Océane bénéficie d’une connexion directe à tous les grands axes routiers. A proximité du Min, un pôle agroalimentaire contribuera au développement d’un secteur d’activités de la filière alimentaire d’envergure régionale. De l‘autre côté de la Loire, le site actuel du Min accueillera un nouveau quartier, le CHU et un transport en commun qui profitera également aux Rezéens.
Le transfert va proposer :
Nantes Métropole va réaliser des travaux routiers pour améliorer les accès au périphérique et assurer une meilleure desserte. Le projet d’aménagement de la porte de Rezé a été présenté lors de la dernière réunion publique du quartier Ragon.
Ces aménagements visent aussi les modes de déplacements doux, piétons et cyclistes. Ils se proposent de faire le lien entre Rezé et Les Sorinières au-dessus du périphérique.
Facile : 2h45 – 9,5 km
http://loire-atlantique.ffrandonnee.fr/
Cette galerie contient 13 photos.
Les 3 Jours à Port Manec’h du 25 au 27 Avril 2017 Même si le programme est encore bien secret……. nous pouvons déjà découvrir ce pays de rêve…….. et nous préparer pour 3 jours formidables grâce à nos « organisatrices » hors … Continuer la lecture
► 1040 : fondation du prieuré du Pellerin.
► 11ème : Lieu de passage vers Saint-Jacques-de-Compostelle.
► 18ème : Jusqu’alors le Pellerin était un port très actif.
► 1759 : Naissance de Joseph Fouché, ministre de la police de Napoléon.
► 1793 : Destruction du bourg par les armées de la Révolution.
► 1838 : Reconstruction des quais.
► 1892 : Ouverture du Canal de la Martinière.
► 1976 : Projet de centrale Nucléaire au Pellerin.
► 2001 : Le Pellerin devient membre de la communauté urbaine de Nantes, rebaptisée Nantes Métropole en 2004.
Au moyen-âge, lors de l’avènement de saint-Jacques-de- Compostelle, certains pèlerins venant du nord de la France, de Bretagne et même d’Angleterre, suivaient le chemin longeant les côtes de l’atlantique pour se rendre vers le sud.
Arrivés dans notre région, ils se heurtaient alors à un obstacle majeur : le franchissement de l’estuaire de la Loire. En effet, le fleuve à cette époque était réellement dangereux du fait des marées, des alluvions et des bancs de sable qui en changeaient souvent le cours. Les embarcations en usage à l’époque d’ailleurs ne garantissaient pas non plus une »croisière » de tout repos et nombreux étaient les accidents de navigation. Les pèlerins empruntaient alors un passage situé à Rohars, à proximité de Cordemais, débarquaient au sud, au village du Migron (de migrare «celui qui se déplace»).
Celui-ci évitait aux pèlerins de passer par la grande ville de Nantes, dont les gîtes y étaient trop onéreux. De Couëron, ils débarquaient alors sur nos rives et aux alentours immédiats où ils savaient pouvoir trouver un hébergement sur leur chemin.
Le pèlerin, du latin » pérégrino – pérégrinum » signifie : celui qui voyage. D’où Sancta Maria de Pérégrinos, patronne de notre paroisse depuis l’an 1040.
► Histoire complète et détaillée dans le bulletin n°4 de l’association Autrefois le Pellerin (Mai 2008).
En 1675, le propriétaire du terrain sur lequel passait ce cours d’eau, que les pellerinais appelaient communément à l’époque le « Chedane », demanda à son fermier d’installer un pont afin de permettre la circulation entre les deux villages. Un pont composé de deux pièces de bois maçonnées à leur extrémité fut alors construit. Bien que nécessitant le remplacement de ces deux pièces de bois chaque année, ce pont a permit d’assurer la communication entre les deux communes de nombreuses années avant la
construction du pont de Saint-Jean, tel que nous pouvons le voir aujourd’hui.
C’est en 1848 que le docteur rené Veillechèze, nommé Maire du Pellerin en 1847, signe avec le Maire de la commune de Saint-Jean-de-Boiseau, un accord pour la construction du pont de Saint-Jean. Ce projet de réalisation d’un pont sur le chemin de grande communication n°66 de Nantes à Chéméré nécessita l’obtention de la signature de 98 propriétaires et l’aide de 53 souscripteurs pour sa mise en œuvre et son financement. Un viaduc composé de 7 arches de 5,33 mètres de hauteur est alors construit d’après le plan et sous la direction de M.Orieux, agent-voyer en chef de la Loire-inférieure pour enjamber le ruisseau et la vallée et permettre de relier les deux communes. Conçu avec les pierres de la carrière du Pellerin et revêtu de pierres de taille en granit, le pont fut achevé et inauguré en 1855. Rénové en grande partie en 2008 en 2008, le pont a fait l’objet d’importants travaux de rénovation, avec notamment un élargissement de la chaussée et l’aménagement de passages piétons.
Commune de départ : Le Pellerin
Communes traversées : Le Pellerin, Saint-Jean-de-Boiseau, Cheix-en-Retz
Au nord, le circuit longe la Loire puis le canal de la Martinière, qui dispose d’une machinerie quasi unique pour manoeuvrer les lourdes portes de la première écluse amont, sur laquelle s’est échoué un drôle de bateau… Creusé sur une quinzaine de kilomètres entre le village de La Martinière et le bras du Carnet. Entre 1892 et 1914, il permet aux navires de haute mer de remonter plus facilement l’estuaire. Avec leurs tirants d’eau toujours plus importants, les grands bateaux ne peuvent bientôt plus emprunter le canal qui doit fermer à la veille de la Première Guerre mondiale. Le canal sert aujourd’hui à réguler les niveaux des marais voisins. À Découvrir En chemin : – canal et village de pêcheurs, machinerie de la Martinière – roselière – île Bikini – ateliers des Coteaux – le Misconceivable d’Erwin Wurm Dans la région : – Le Pellerin : halles – Port-Saint-Père : Planète sauvage
Le bâteau mou